Sur cette page vous prendrez connaissance de deux idées, deux programmes d’accession à la propriété en location-achat : La vie à la campagne ou à la ville, c’est à vous de choisir !
Une idée à réfléchir et deux applications pratiques possibles selon votre choix :
1/La maison à rénover dans une petite ville de Touraine et
2/ La maison à construire soi-même ou à rénover a la périphérie de la ville, espace constructible ou bâtiment abandonné. Les deux possibilités nécessitent une participation active, du futur propriétaire qui rénove lui-même. Il est aidé pour y parvenir.
PROPOSITION N°5
Pour 20 ou 30000 euros (et parfois moins) il est possible d’acquérir une petite maison dans une petite ville qui se désertifie, en Touraine et pas loin de Tours. La mairie pourrait se porter caution auprès du banquier, même avec le RSA pour seul revenu, vous pourriez rembourser le prêt d’achat de votre maison ou l’acquérir en location achat. Imaginez vous dans un lieu calme ou vos enfants peuvent partir à l’école à bicyclette sans danger. Et si vous changez d’avis ? La mairie vous propose de revenir dans un appartement similaire à celui que vous occupez actuellement.

La recommandation de l’association OA : Pour attirer et conserver des habitants, l’agglomération doit avoir atteint un seuil minimum de développement des services publics. Le village de quelques centaines d’habitants n’est pas le format idéal. Il le sera plus tard. Pour l’instant, il nous paraît intéressant de sélectionner les agglomérations dotées au minimum d’un collège...

… qui se situent dans une zone géographique présentant un prix moyen des ventes inférieur à 1500 euros/m2 (vert foncé et clair). Il s’agit d’un prix moyen, les habitations situées dans des zones géographiques qui présentent un coût supérieur, mais inférieur à 2000 euros/m2 (jaune) peuvent être éligibles bien sûr. C’est la prix de vente qui détermine l’éligibilité, la couleur de la zone constitue une précision.
Il est urgent de conserver dans ces agglomérations certaines activités propices a l’amélioration de la vie quotidienne : piscines et baignades en rivière, musées, salles de spectacles, cinémas qui sont actuellement menacés comme dans la ville d’Azay-le-Rideau ou celle de Descartes.
Les villes qui pourraient être éligibles au programme imaginé par OA
Proposition de sélection :
- Richelieu 857 euros/m2.
- Chateau-la-Vallière 1419 euros/m2
- L’Ile Bouchard 1130 euros/m2
- Azay-le-Rideau 1905 euros/m2
- Le Grand-Pressigny 994 euros/m2
- Ligueil 1188 euros/m2
- Loches 1635 euros/m2
- Montrésor 1180 euros/m2
- Nouâtre 1286 euros/m2
- Descartes 1035 euros/m2
- Neuvy-le-Roi 1662 euros/m2
- Neuillé-Pont-Pierre 1900 euros/m2
- Sainte-Maure-de-Touraine 1667 euros/m2
- Savigné-sur-Lathan 1569 euros/m2
PROPOSITION N°5 BIS
L’Idée 5 bis : il s’agit d’une autre idée qui peut être mise en oeuvre de deux façons différentes, deux propositions à choisir.
Soit un terrain constructible aménagé par la mairie comprenant une dalle de béton flottante, plus économique, confortable et écologique que la construction d’un sous-sol. L’habitation est alors assemblée à sa surface par le futur propriétaire, avec l’aide des futurs propriétaires voisins.
Soit un ensemble de maisons à rénover comme dans l’exemple du village fantôme de Ballan-Miré ou encore une grande habitation permettant un cadre de vie pouvant être partagé comme le couvent des Minimes à La Riche ou l’ancien orphelinat/hôpital de la Haute-Barde par exemple.
QUELQUES RESSOURCES A CONSULTER POUR FACILITER LA COMPREHENSION ET LA MISE EN OEUVRE DES IDEES :




UNE JUSTIFICATION/ARGUMENTATION A LIRE EN FAVEUR DE L’IDEE :
UNE PROPOSITION A DISCUTER (EXTRAIT DU MANUEL 11 IDEES POUR AMELIORER VOTRE VIE QUOTIDIENNE A TOURS ET EN TOURAINE)
Dans cette proposition il s’agit de donner une perspective aux habitants à petits revenus, y compris ceux qui perçoivent le RSA ou qui sont en retraite mais pas uniquement. Ce programme d’accession à la propriété est accessible à tous. Il s’agira cependant d’accompagner l’accession à la propriété avec un programme de location-achat dans des petites villes de province qui se désertifient.
Vous pensez que la ruralité peut attirer les habitants et que le repeuplement des petites villes et villages qui se désertifient est possible et pas si difficile à réaliser ?
Ces migrants volontaires contribuent alors au maintien de services publics des petites villes et pourront même y participer bénévolement afin de faciliter leur intégration et développer leurs relations. Posséder une petite maison à rénover avec un jardin, loin des maux, des bruits et de la violence que l’on rencontre souvent dans les grandes cités, ce n’est pas mal. Je doute que cela ne plaise pas même s’il s’agit de déménager dans une autre ville. Offrir une perspective à la vie quotidienne actuelle de certains habitants des cités pas toujours bien logés, c’est vital pour tous. C’est également une autre façon d’élever ses enfants, avec plus d’espace, plus de nature, l’action éducative de l’Éducation Nationale s’en trouve renforcée.
L’exode urbain qui s’est accéléré avec le COVID ne date pas d’hier, cela fait déjà quelques dizaines d’années que les retraités de la région parisienne partent s’installer sur la côte Atlantique. Tous les départements de la côte Atlantique ont vu leur population augmenter, non pas par l’effet des naissances mais par la migration des Parisiens qui arrivent à la retraite et ne retournent pas forcément dans la province dont ils sont originaires.
Effectivement mais La Rochelle, Bordeaux, Nantes, Vannes, ce n’est pas Descartes, Preuilly, Richelieu et Loches ! Il n’y a pas la mer qui contribue beaucoup à l’attraction de nouveaux habitants. Vous pensez faire comment pour attirer les habitants ?
C’est désormais très cher de faire construire ou d’acheter une maison dans ces villes du bord de l’océan. La vie est également devenue plus chère, les tarifs sont adaptés à une clientèle financièrement aisée. La Rochelle est devenu le nouveau Saint-Tropez. Il y a du monde, des bouchons, il y a du bruit et tout coûte cher. Tout le monde ne dispose pas du capital nécessaire pour s’y installer et y vivre. Les gens privilégient aujourd’hui le calme des campagnes, la vie de famille, une vie plus paisible moins violente qu’en centre-ville, et puis la Touraine est belle, avec toutes ses rivières et vallées qui sont autant de sujets de balades.
Il existe par ailleurs un véritable risque de submersion dans les villes qui attirent sur la côte Atlantique. La Touraine ne manque pas d’attrait.
Mais partir s’installer dans une ville où il n’y a pas ou peu de travail me paraît difficilement envisageable.
Dans une interview au journal Le Parisien en 2022, le ministre du Travail affirmait que le nombre d’allocataires du RSA avait « doublé » en dix ans. Nous pouvons toujours discuter du nombre mais il est certain qu’il n’a pas diminué. Nous pensons que ce nombre aura triplé en 10 ans. Et puis le télétravail s’est
développé, nous constatons le développement de la dématérialisation des échanges qui peut faciliter ces relations. Cela est rendu possible par le développement des technologies de l’information et de la communication.
L’intelligence artificielle présente des inconvénients et contribue à diminuer des emplois mais le travail à distance facilite l’exode rural.
C’est avec les bénéficiaires du RSA et les télétravailleurs que vous
souhaitez repeupler les petites villes de Touraine ?
Bien sûr mais pas seulement et aussi avec tous ceux qui ont des petits revenus et qui le souhaitent. Cela peut-être les bénéficiaires du RSA mais aussi des retraités désireux de profiter de l’air de la campagne à condition d’avoir des commerces de proximité. La vie dans les grandes villes lorsque l’on vieillit, c’est
parfois fatiguant. Cela peut également intéresser ceux qui acceptent les emplois proposés dans les petites villes. Il y en a, moins, mais il y en a. Et puis en augmentant la population, vous allez créer des besoins et de nouveaux emplois.
Vous pensez qu’ils accepteront d’aller vivre dans ces endroits reculés ? loin de tout ?
Vous oubliez Martine que vous êtes la première à vanter les charmes de la vie dans ces petites villes qui ont souvent, un musée, des expositions, une piscine, un collège, parfois un lycée ou cinéma pas très loin. Et puis vos enfants peuvent faire du vélo sans risquer de se faire écraser par un chauffard. Il y a moins de circulation, moins de violence, vous pouvez vous y balader le soir, reprendre goût à la discussion et à la rencontre avec ses voisins comme avant l’invention de la télévision. Vivre dans les petites villes de la Touraine, c’est un peu comme remonter le temps, c’est prendre le temps de vivre, on ne vit qu’une seule fois. Si les enfants rentrent parfois un peu en retard il y a moins de sujets d’inquiétudes, ils ne risquent pas ou beaucoup moins de faire de mauvaises rencontres, en étant plus autonome on renforce leurs aptitudes à grandir et à entreprendre. Vous ne trouvez pas qu’aujourd’hui nous avons peur de tout ?
J’ai remarqué à l’occasion d’un voyage en Suisse, que les enfants ont l’habitude de jouer dehors ou de se rendre à l’école tous seuls. Un héritage culturel qui est aujourd’hui menacé par des parents de plus en plus anxieux. Bien sûr qu’il y a beaucoup de personnes qui accepteraient de vivre dans ces conditions. Vous en connaissez qui refuseraient ? Et si en plus on les aide à devenir propriétaire d’une petite maison et d’un petit jardin ?
Vous allez aider les bénéficiaires du RSA à devenir propriétaires de leur maison alors qu’ils n’ont pas beaucoup de revenus ?
Oui pour ceux qui en ont envie, qui savent bricoler, retrousser leurs manches et travailler, ils vont remettre en état des maisons inhabitées depuis des années. Ils seront d’abord locataires, ils paieront un loyer tous les mois, pas plus cher que celui qu’ils paient aujourd’hui. Les aides au logement qu’ils perçoivent les aideront à devenir propriétaire. Peut-être même qu’avec un petit jardin, ils feront des économies. Dans deux ou trois années ils pourront acheter la maison à un prix très bas. Vous savez, dans ces petites villes qui se désertifient, on peut trouver de petites maisons à moins de 30.000 euros.
Au Portugal, la Vila Nova de Foz Côa située dans la région du Douro, a mis en vente plusieurs maisons à 1 euro dans le but d’attirer de nouveaux habitants. Les acquéreurs doivent s’engager à rénover les biens dans un délai de 3 ans et à y établir leur résidence principale. Il s’agit d’un programme un peu différent de celui que nous imaginons. Dans ce programme portugais, il n’est hélas pas question d’implication citoyenne dans les services de la cité mais cet exemple montre que les initiatives se développent en faveur de cette idée.
Source : https://www.immo-data.fr/
Des maisons à ce prix-là, il y a beaucoup de travaux à réaliser ? Cela coûte cher !
Oui un peu, mais vous avez vu tout ce que l’on peut trouver d’occasion ? Vous avez vu tout ce qui se vend dans les vide-greniers ou sur des sites Internet de biens d’occasion ? Certes, vous n’achetez peut-être pas le carrelage avec le motif dont vous rêvez mais si vous allez aux Emmaüs, vous verrez que l’on trouve de tout et pas cher. Les recycleries se développent de plus en plus. Il faut savoir faire des choix, la vie avec la famille et son voisinage, pour certains d’entre nous, c’est plus important que de rouler en Ferrari ou que de voyager et de faire le tour du monde. Quand hélas on ne travaille pas parce que l’emploi n’est plus au rendez-vous, lorsque que l’on est au RSA, on a du temps disponible, on a le temps de travailler à rénover sa maison, aider son voisin, accompagner une personne âgée qui vous aidera peut-être à son tour. Je vous fais le pari Martine que dans ces petites villes qui se dépeuplent, les retraités vivront mieux que dans les grandes cités. Et si l’habitation rénovée peut devenir sa maison c’est encore plus motivant.
Et si je n’y arrive pas, si les travaux sont trop difficiles à réaliser ?
Notre idée s’adresse à ceux qui en ont envie, même si vous n’êtes pas un bon bricoleur vous serez aidé pour tous les gros travaux difficiles, il faudra faire
appel à des artisans notamment pour la plomberie, la toiture, l’électricité. Notre programme va permettre de créer des emplois et de donner du travail aux artisans déjà sur place. Mais pour la pose de carrelage, la peinture, l’entretien du jardin, la pose de papiers peints et de nombreux autres travaux, je connais un grand nombre de personnes qui sont tout à fait capables de faire par elles-mêmes. J’ai appris à poser du carrelage en regardant des vidéos sur YouTube. J’ai même réparé ma machine à laver et commandé une pièce par Internet. Lorsque vous êtes locataire, les travaux les plus coûteux sont pris en charge par
le propriétaire, dans un premier temps cela pourrait être la mairie. Elle deviendra la propriétaire facilement des maisons abandonnées et inoccupées
notamment celles qui se dégradent si les travaux vitaux (toiture) ne sont pas réalisés. Elle utilisera son droit de préemption. Avec votre expérience, vous êtes Martine la personne idéale qui peut accompagner les futurs propriétaires et aussi les conseiller dans le choix des artisans locaux et dans les aides existantes.
Et si finalement après avoir essayé, la vie à la campagne ne me plaisait pas ?
Si vous habitez un logement social à Tours par exemple, la mairie vous proposera de revenir dans un logement social. Et si vous n’aviez pas de logement social et que vous avez envie de tenter l’aventure, la commune ou vous habitez actuellement vous en proposerait un. Cela me paraît être une bonne façon d’encourager.
Vous croyez qu’elle le fera ?
Oui, cette idée, c’est un travail d’équipe. La mairie est là pour s’occuper de ses habitants. Je n’ai pas prévu avec mon équipe de me présenter aux élections municipales mais si vous nous encouragez en achetant ce livre et en le faisant connaître, pourquoi pas ? C’est plus facile de réaliser ce programme lorsque
l’on en est l’auteur, plus facile que de perdre parfois son temps en paroles à essayer de convaincre des irréductibles ou des pessimistes que ces idées sont intéressantes. Pour agir efficacement, il faut parfois être en situation de pouvoir le faire. Beaucoup se sont épuisés à essayer de convaincre. La mairie y a intérêt. C’est même elle qui financera ou se portera caution pour que le locataire puisse en devenir propriétaire. Beaucoup de locataires actuels à petits revenus
perçoivent l’aide au logement. Elle peut les aider à devenir propriétaire, alors, ils ne percevront plus. Tout le monde est gagnant.
Effectivement votre projet semble présenter des perspectives d’économies importantes pour la collectivité.
Pas uniquement sur le plan économique, en s’occupant de ses habitants, en leur proposant une perspective, une ville contribue au développement de leur bien-être. Cela contribue à faire diminuer les tensions et les violences. Toutes ces violences et dégradations subies ont un coût. Et puis je connais des bénéficiaires du RSA qui sont actifs dans leur commune, qui sont bénévoles, qui s’occupent des enfants du quartier, qui sont représentants de parents d’élèves à l’école, qui sont assesseurs dans les bureaux de vote. Ce n’est pas parce que l’on est au RSA que l’on ne fait rien et que l’on ne sait rien faire, on a besoin de sa mairie et lorsqu’elle vous aide, on est prêt à lui consacrer du temps. Vous allez voir Martine, avec ce genre de programme, l’abstention aux élections va presque disparaître !
Il y aura une commission municipale qui étudiera les demandes ?
Bien sûr, comme un cv, la personne désireuse de faire partie du projet devra se présenter devant une commission pour faire connaissance et confirmer son intérêt et celui de sa famille. Un rendez-vous sera également pris avec une autre commission, celle de la ville dans laquelle le locataire et sa famille décideront d’aller habiter. Les gens ont besoin d’accompagnement. Quand on n’a pas beaucoup d’argent, on hésite, parfois on craint de prendre des décisions.
L’accompagnement est important, il faut de la confiance. Ce n’est pas la même chose lorsque vous avez un compte en banque bien garni, comme c’est souvent le cas pour ceux qui sont partis acheter leur maison sur la côte de l’océan Atlantique, bientôt submergée.
Comment comptez-vous convaincre les habitants de la ville d’accueil de créer cette commission et de proposer un accompagnement aux futurs habitants ?
L’idéal pourrait être que le maire aille les rencontrer pour s’engager pour eux. Il est nécessaire qu’il y ait sur place des personnes pour accueillir et conseiller, donner des idées, apporter une aide, un soutien, des solutions. Ce programme repose sur la confiance, sur la qualité des relations humaines. Les membres pourraient être des retraités. Tous les habitants de la ville d’accueil y ont également intérêt. Ils choisiront les candidats, ils les rencontreront. C’est normal, c’est leur ville. En augmentant leur nombre, ils contribueront à maintenir une école qui allait fermer, à ouvrir de nouveaux commerces et même à créer des emplois entre habitants. Vous verrez dans quelque temps un voisin viendra tondre le gazon d’un autre plus âgé, un bricoleur viendra changer la robinetterie d’un habitant qui ne sait pas bricoler etc. Des entreprises individuelles peuvent alors se créer et puis le troc se développe, les ressourceries aussi, le réemploi est également un moyen de réduire ses déchets. Il faut vivre avec son temps !
Et s’il existe des problèmes de voisinage, si les gens ne s’entendent pas, vous savez ils sont parfois égoïstes et même parfois violents !
Ils peuvent l’être parfois lorsqu’ils souffrent ou lorsque la vie est trop difficile, lorsqu’ils constatent que leur environnement et leur famille se dégradent. Mais si vous leur tendez la main, ils ne sont pas plus violents que mes voisins et les vôtres. Lorsque l’on souffre ce n’est pas facile, on baisse les yeux, parfois les bras, parfois on se révolte, on s’énerve, on manque de patience. Vous avez pu lire dans la première partie de ce manuel quelles sont pour nous les véritables causes de cette violence qui nous inonde aujourd’hui.
C’est le chômage, la perte de l’estime de soi et le manque d’argent dans une société ou la consommation est valorisée. Tendons la main à ceux qui ont été humiliés par le chômage, vous verrez leur tête se relever et voir dans leurs yeux l’espoir. Vous pourrez compter sur eux, ils vous aideront à construire le monde de demain. Vous pourrez exiger d’eux d’être des citoyens investis dans leur ville, vous verrez, ils proposeront leur aide sans avoir besoin de leur demander.
Peut-être un jour si vous ou l’un de vos enfants se retrouve en difficulté, c’est peut-être la personne aidée qui vous viendra en aide à son tour. Mais ce projet ne réussira pas sans les personnes chargées de l’accueil et de l’accompagnement qui seront présents au bon moment pour prévenir une difficulté ou un conflit. Cette idée est réalisable mais il faut cet état d’esprit de donner pour recevoir pour qu’elle fonctionne, il ne s’agit pas de forcer ou de menacer. D’ailleurs en lisant le chapitre d’Alexandre, j’ai l’impression que de nombreux problèmes de voisinage pourraient être réglés facilement à condition d’agir à temps et de réaliser une médiation.